Oryzias latipes et hyalella azteca.
Les études concernant les effets des nanomatériaux sur la faune, parfois contradictoires d’un auteur à l’autre, démontrent pour une grande partie, qu’ils peuvent induire, en particulier, des malformations, une augmentation de la mortalité, une altération des gènes ou de la reproduction [M.A. Maurer Jones et al., Analytical Chemistry 85 (2013) 3036-3049 / E. Artells et al., Plos One 8 (2013) / S.W.Y. Wong et al., Reviews in Nanoscience and Nanotechnology 2 (2013) 79-105 / L. Song et al., Chemosphere 139 (2015) 181-189].
Les effets observés dépendent, par exemple, de la forme des nanoparticules, de la nature chimique ou de l’enrobage [K.W.H. Kwok et al., Aquatic Toxicology 120-121 (2012) 59-66].
De plus, les phénomènes de dissolution, d’agrégation et de sédimentation des nanomatériaux sont des modulateurs des effets toxiques [D.W. Xiong et al., Science of the Total Environment 409 (2011) 1444-1452 / T.A. Xia et al., ACS Nano 5 (2011) 1223-1235].