Selon leur nature chimique, certaines particules peuvent se dissoudre plus ou moins rapidement dans les liquides biologiques, ce qui favorise leur transfert dans l'ensemble de l'organisme. Elles perdent alors leur structure de nanoparticules et leur toxicité relève du risque chimique conventionnel.
Les nanoparticules très rapidement solubles ont probablement une toxicité assez voisine de celles de particules de même nature chimique mais de dimension plus grosse.
A l'inverse, les nanoparticules peu ou pas solubles vont probablement être transférées beaucoup plus lentement du poumon vers l'ensemble de l'organisme. Les effets spécifiques en rapport avec leur structure de nanoparticules s'exprimeront plus durablement.