En ce qui concerne l'inhalation, la dangerosité des nanoparticules dépend a priori de leur propension à être disséminées suivant qu'elles sont :
- libres dans l'air sous forme d'aérosol (poudre),
- en solution dans un liquide (colloïde),
- déposées sur gel ou intégrées dans une matrice détériorable, fils ou tubes fixés sur une surface,
- intégrées dans une matrice solide par une liaison forte, particules ou couches sur une surface.
Pour l'exposition cutanée, la possibilité de pénétration par contact avec des "nano" dépendra des précautions mises en œuvre mais aussi de l'état des particules. Un gel sera, par exemple, plus "collant" qu'une poudre.